les gratte ciel

je travaille actuellement  sur le concours d'écriture du salon du livre de Colmar et   parmi les livres proposés   comme support  il y a  celui ci

un livre  tres interessant pour travailler en arts visuels et  en expression écrite  sans parler  de l'activité  langagière...

une presentation  rigolote  ici

Deux milliardaires, Agenor-Agobar Poirier des Chapelles et Willigis Kittycly Junior, construisent chacun leur nouvelle maison, de véritable gratte-ciel. Et c’est à celui qui construira le plus haut. Ils prennent l’avantage à tour de rôle, jusqu’au jour où les architectes leur font comprendre qu’il est devenu impossible de continuer. Les deux milliardaires étant à parfaite «égalité de hauteur», ne veulent pas entendre raison et décident de poursuivre seuls la compétition, sans architectes, sans ingénieurs, sans ouvriers et sans personnel de maison… Une belle fable sur la folie des hommes, une critique humoristique du monde moderne, de la compétition à tout prix et du «toujours plus» (La joie de Lire)

Les pages s’emplissent progressivement jusqu’à devenir étouffantes, accumulation de détails et de personnages, et les commentaires accompagnant la surenchère de cette compétition entre voisins sont savoureux. Jusqu’à ce que, des deux cotés, les « architectes les plus chers du monde » déclarent unanimement : Il est tout à fait impossible de construire plus haut. Jusqu’à ce que le gratte-ciel de gauche vacille, s’ébranle et s’écroule comme un château de cartes. Face à ce désastre, le propriétaire de l’immeuble victorieux commande tranquillement  une pizza, une Capprizio…

L’histoire ne s’arrête pas là et cette pizza n’arrivera jamais jusqu’à lui car, non non non, l’argent ne fait pas le bonheur, et il suffit d’une jeune livreuse étudiante, nullement impressionnée par cet étalage de richesses, pour vérifier l’adage.

je  cogite  sur  l'exploitation que je peux en faire et  reviens  des  que  j'arrive à finaliser quelque chose 

la maitresse aime  l'a dejà exploité